Moon, l'île cannibale !

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Tranquillement installé à Sufokia chez mes parents adoptif je commencé à me lasser du paysage.
A Sufokia il n'y avait pas d'aventure et cela commençait fortement à m’ennuyer.
J'étais chez moi dans ma chambre, assis à ma fenêtre en train de regardé le couché de soleil qui était magnifique.
Je sentais qu'il était temps, il était temps pour moi de partir, de découvrir qui j'étais vraiment, d'ou je venais et tout le reste.
J'étais tellement excité que je pris un sac mis mes affaires les plus importante dedans et je courus vers la cuisine, la où se trouvaient mes parents Osamodas.

_Père, mère il est temps pour moi de partir !

Ma mère baissa les yeux, elle était triste de me voir partir mais elle savait que un jour j'allais partir et ce jour était arrivé.
Mon père lui me fit un grand sourire, il prit mon bras et m’emmena dans sa chambre pour me montrer des affaires qui lui avaient servie dans son passé.

_Naku, ne prends pas ce monde à la légère, je vais te passer quelques équipements
_T'inquiète pas papa, je serais aussi fort que toi !

Mon père pris un coffre qui était caché dessous son lit, ensuite il prit une clef et il ouvrit le coffre.
Dedans le coffre il y avait toute sortes de chose il me demanda de choisir ce que je voulais mais moi j'étais plutôt impressionné par le contenue du coffre.
Je fixais le coffre du regard, dedans il y avait une bourse de kama, des dagues, une épée, une vielle coiffe bouftou et quelque autres truc inutiles.
Je dirigeais ma main vers la bourse de kama, ensuite vers les mitaines quand soudain j'entendis une voix qui sortait du coffre.

_Hey !! Nabot tu fais quoi la ?! Ta cru que t'allais me toucher ?! Hors de question !

J’examinais le coffre et je ne voyais rien de vivant puis mon père pris les gants et me raconta d'où il les avaient eu et tout le reste.
D'après ce que j'avais compris, ces mitaines n'était pas comme toute les autres mitaines, celle ci enfermé des démons que mon père appelaient les shushu.
Il me raconta que en cas de danger de mort les shushu seraient la pour m'aider..
Une fois tout le reste fini mon père m’emmena à un transport brigandin de Sufokia et paya le chauffeur pour que j'aille à Amakna.
Les adieux étaient très rapide et je le regrettais.
Une fois dans le transport je regarda mon sac qui était remplie, un côté il y avait quelques vêtement, de l'autre il y avait mes mitaines, ma bourse de kama et au milieu de tout sa ce trouvait un oeuf d'oiseau que j'avais trouvé à Sufokia quelque jours avant mon départ.

Cela faisait quelque heures que nous étions en plein vol, je commençais à m'ennuyer alors je posa mon sac dans la cabine du transport une fois en dehors de la cabine je me pencha vers le vide tout en me tenant à des cordes pour ne pas tomber.
Depuis mon départ le chauffeur ne me parlait pas.
J'étais silencieux mais je profitais de ce voyage à un maximum, les paysages, les oiseaux, tout était resté gravé dans ma mémoire.
Quelque minutes plus tard j'entendis un orage puis le capitaine du transport m'ordonna d'aller dans la cabine, sans perdre de temps je m'étais rendu dans la cabine.
J'étais dans la cabine, je commençais à inspecter les lieux quand soudain j'entendis un gros bruit, je courus pour voir si le chauffeur allait bien et une fois dehors je vis une grosse tempête, le vent soufflait de toute ses forces.
Le capitaines m'ordonna de rentrer dans la cabine pour une deuxième fois et je le fis.
Je sentais que le bateau volant n'allait pas tenir longtemps, je commençais à verser des larmes en pensant que j'allais mourir.
J'entendais de plus en plus d'orages, quand soudain j'entendis un gros bruit encore plus fort que les orages, c'était de la foudre, je voulais aller voir ce qui se passait à l’extérieur de la cabine mais le transport devait être en chute libre vue que je commençais à flotter dans les airs tout en étant dans la cabine.
Ceci fut mon dernier souvenir dans le transport.

Paupières lourdes, je commençais à me réveiller sur un sable chaud et doux.
Ma main était en face de mon regard, j'avais du mal à me relever mais une fois debout je vis plein de débris du transport sur la plage.
Ou j'étais, je ne le savais pas.
Je me sentais mal, je perdais mes forces et je saignais beaucoup.
Une seule pensé résonnait dans ma tête: Était-ce le lieu de ma mort ?
Paupières lourdes, je commençais à perdre conscience sur un sable chaud et doux.

- Parééé les amard matelots !!!

- Oui capitaine

L'affaire de Bonta avec une certaine zobal nommée Zora Wawa ne fut point une belle réussite pour Rellyk, ou du moin, il avait connue mieux.
Maitenant le voilà, devant le célèbre Rasta Cocordia, le bateaux dit, maitre des vents, m'ouais c'était asser louche pour Rellyk, surtout pour 400 kamas la traverser pour aller sur la petite île de Moon, d'ailleur Rellyk ne le sentait pas, mais cela ne lui empêchait pas d'être d'un calme et d'un sérieux sans pareil par rapport a ses pauvres compagnons qui ne cessait des faire toutes sortes de manoeuvre incompréhensible.
Rellyk c'était prit deux aventurier en quête d'aventure bien sûr, mais, pas n'importe qu'elle aventurier ! Un petit retour s'impose.

- Pf, pf, pf, où es-elle cette folle ?

Rellyk entendis un bruit venant en haut du manoir, il s'y aventura de suite continuant la recherche de la mistérieuse femme... Elle se tenait devant lui, un regard pénétrant, ses yeux n'était pas de la même couleur, non, elle avait retirer son masque, mais... Deux yeux différent ? Comment cela pouvait t-il se faire ! C'était tellement rare, et là, devant lui, elle sauta par la fenêtre se rattrapant sur ses deux pieds avant de s'eclipser comme si de rien n'était.

- Ho non....

Rellyk se dépèchait de sortire du manoir pour la rattraper, il aimait bien ce genre de "jeu", mais quelque chose vînt abstenir sa joie...

- Et le Iop, une petite aventure avec mon pote ca te dirais ?

- Je n'ai pas de temps a perdre !

Rellyk était près a partire quand un deuxième homme l'intérrompus, c'était un sacrieur, un sacrieur senblable a celui qui l'avais quitter, mais qui n'était pas de même sinon le jeune Iop serais déjà en trains de lui faire la moral...

- Comment t'appelle-tu ?

- Rellyk, bon tu bouge ou je te bouge ?

- Du calme mon vieu, je ne veux seulement que faire ta connaissance, l'homme se baissa pour arriver a la taille du iop et lui chuchota, tu vois ces deux personnes, protège les et va au port de Sufokia pour aller à Moon...

- Je vois pas pourquoi...

- 50 000 Kamas ca te vas ?

- Ok...

L'homme fut surpris par la réaction de Rellyk, on lui avait tellement parler de ce iop, un iop calme, doux et neutre, qui n'acceptait que très rarement l'argent des autres, mais quelque chose avait changer en lui, comme si une nouvelle personnalité était remonter a la surface de celui-ci, il lui donna la bourse de kamas que rellyk enfilait rapidement a sa ceinture, le Iop se rapporchait des deux aventuriers pour leur parler...

- Bon les débiles, moi c'est Rellyk et j'ai pour mission de vous amener au port de Sufokia, pas de remarque ou je vous pète un membre.

- Ou... Oui...

Rellyk regardait d'un regard profond et plus ou moins sombre le regard des deux jeunes hommes qu'il s'était prit...

Après ce fut un noir totale, comme si, on l'avait soualer mais, cela ne il s'enfoutait vraiment, il regardait, l'argent n'était plus a sa ceinture, de toute façon il ne se souciait guère de l'argent perdu ou qui aurait pus le lui la voler, il se retourna vers les deux guignols qui embêtait les passant qui descendait du Rasta Cocordia, c'était bientôt a leur tour de monter dans le bateaux de fois plus grand que le port en lui même...

- Embarcation !!! Intervaint le capitaine a la foule acablante.

Le Jeune iop se fis fondre a la masse pour esquiver les deux hommes, avant de se faire complètement emporter par la foule exiter, il ne taint plus a respirer pendant quelques secondes, il du pousser, tacler, sauter pour attraper certains objets, taper... Heu non pas taper, bref, une étape dur et déjà énervante.
Une fois dans sa cabine, Rellyk déposa ses affaires sur le sol, fatiguer par ce qui venait de se passer, il soupira profondément avant de fermer ses petite paupière fine...

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- Kof kof !

Rellyk tapota le lit, le lit ? Cela n'avait plus l'air d'un lit, non, c'était fin, doux et chaud, comme sur une plage, ou plutôt du sable... Du sable ? Rellyk se levait brusquement regardant autour de lui, partout, sur tout les côtés, des palmiers, la mer et tout une forêt se trouvait a lui, mais... Comment se faisait-il qu'il se trouvait ici, et où était-il ? C'était une bonne question ! Si le bateaux l'avait déposer a Moon pourquoi les deux guignols ne sont pas avec lui ? Ou aurait-il fait naufrage ? Mais dans ce cas ou se trouve les carcasse du bateau ? Crela restait encore un mystère et Rellyk se mit en aventure de silloner la plage a la recherche d'un quiquoncque survivant ou une personne qui pourrait lui faire voir plus clair. Après une dizaines de minutes une carcasse bleu était au loin, il s'empressa d'y aller, jusqu'à se mettre a genoux devant la "carcasse''.
Ce n'était qu'un être sur la plage, surement naufragé, lui aussi, du maitre des vents mais, la question en se posait pas là... La personne saignait terriblement, Rellyk la regarda un instant avant de lui demander son prénom et comment était t-elle arriver là Tout en luid onnant les premier soins...

{Hrp}Bon je'ai juste fait rapidement le Rp tout en essayant d'être asser simpliste dans le spropos mais, je n'ai pas vraiment le temps la semaines donc je corrigerais quand le moment me sera donner !{Hrp}

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Sable chaud, sable doux tel un lit paradisiaque.
Sable rouge, sable affreux tel une flaque de sang.

J'étais à moitié inconscient sur le sable chaud et doux qui s'imprégnait de la couleur de mon sang.
Je regardais le lieux qui pourrait être le lieux de ma mort, une île, une île avec une grande jungle dont je n'arrivais pas à voir le bout.
J'étais la allonger sur le sable en train de me vider de mon sang tout en examinant la zone, je voulais de l'aventure et l'aventure était la, je m'attendais à une grande aventure mais comment avoir une aventure sans compagnons.
Le son des vagues et de l'eau m'endormait, l'eau qui touchait mes pieds commençait à toucher mes jambes ce qui signifiait que la marée haute allait bientôt venir.
Soudain au loin je vis une silhouette, la silhouette s'empressa de venir me voir et de m'appliquer des premiers soins avec tout ce qu'il avait.
J’examinais mon sauveur, il ressemblait à un Iop, je me demandais pourquoi il était la et qu'est ce qu'il allait me faire après m'avoir soigner.
Une pommade ici, des bandage en feuille de bannanagrume par la et autres chose la bas, voici ce que le Iop était en train de faire puis ile demanda mon prénom.
Mon père m'avait tout le temps dit de ne pas parler au inconnu mais dans une tel situation j'étais obligé de le faire même si j'étais pas dans un assez bon état pour parler.

_Na.. Ku.. Naku...

Je regardais le Iop qui était au près de moi avant que mes paupières se referment sur elles même.
Après ceci ce fut le trou noir.

_Na.. Ku.. Naku...

Sur ces mots ses pauprières se fermairent lentement, ce qui ne devait être point étonnant vue les premiers soins donné. Rellyk regarda autour de lui, il rengeait tout son matériel de soins, il regarda une nouvelle fois autour de lui, pour s'en suivre il prit le petit corps de l'éliatrope dans ses bras avant de marcher le long de la plage, ayant une lueur, une petit lueur d'espérence, t-elle une luciole a ses fin...

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Ca faisait maintenant 1 heure et quelques tofus qu'il marchait toujours le corps dans ses bras tout en pensant les plaies du jeune garçon, il ne voulait pas abandonner, pas avant d'avoir trouver un logement, une batisse ou même une cabane ! Tant qu'il puisse se mettre a l'abris des marrée qui continuaient a monter, de plus en plus vite, et cela, je dois bien l'avouer, ne ravissait pas Rellyk, surtout avec l'handicap qu'il a, il ne faudrait encore moins qu'il rencontre une personne de mauvaise fois, hooo non surtout pas !

- Pf, pf, pfu, il... Il me faut... Me reposer a tout pris...

N'empêche quelque chose lui en empêchait, serais-ce son instinc de survie qu'il lui l'en empêchait ? Rellyk avait déjà pus sentir quelque chose, quelque chsoe de taille humaine, il ne manquerait plus que se soit des aborigiène, là, Rellyk s'empressa pensant a tout ce qui pourrait se passer s'il ne se dépêchait pas de plus le gamin se vidait de son sang et a cette allure il serais mort dans quelques petites heures...
Finalement après mainte et mainte fois réflèxion, le iop s'enfonça dans la jungle tout en pensant qu'il aurait plus de chance de trouvait n'importe civilisation, au pire il marchanderait avec pour qu'on soigne le blésser entre ses mains tremblante.

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Il se faisait tard, la fatigue était de la partie, il en pouvait plus, non, il était trop lourd. Rellyk déposa le jeune homme sur le sol, il retira sa veste, ses trousses de soin qu'il jeta à terre, sans refus, sans regret, il continuait avec ses chaussure qu'il mit dans son havre sac, et reprit marche toujours cette lueur d'espoir dans les yeux.

A peine 10 minutes passé Rellyk n'en pouvait plus, il tomba sur ces genoux, lâcha l'éliatrope, avant de tomber tête à sol et de s'endormire...

{Passage de la troisième à la première personne}

* Ce noir complet qu'elle est-ce ? Où suis-je vraiment ? Je rêve ? Ou... Qu'elle sont ses voix si douce et grotesque en même temps ? Si je suis mort, je ne m'attendais pas a ça... Non je ne le suis pas, quelque chose devient fort, je ne sais quoi, surement le son... C'est... Je suis perdu... Dois-je pleurer ? Crier au plus profond de moi pour qu'une quelquonque aide me vienne ? Si seulement on pouvait m'entendre... Je... J'aimerais tellement retourner dans ce passé, ce passé lointin si enfantin, si joyeux, si amusant et si bête, je n'aurais, jamais du le faire, si seulement je pouvais retourner dans ce passé...*

- Il reprend connaissance, va chercher de l'eau, fait attention au gamin sur ton chemin, c'est un être rare !

Ma vue ? Si flouter, du noir sur les flanc de ma vue, une personne, d'asser grande taille se trouvais debout, le genoux a côté de mon bras droit. Je ne pouvait asser bien distinguer, cette empêchement de vue me gâchais tout, mais, pourquoi suis-je si inquiet ? de toute façon, on a été recueillie, je n'ai plus qu'a attendre mon réveil, tout en espérant que se ne sont pas de personne a l'âme mauvais....

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Mon dernier souvenir à partir de mon arrivée sur cette île inconnue était ce disciple Iop qui était venue me sauver.
Après ceci ce fut le trou noir, j'avais perdu conscience du à ma perte de sang mais au fond de moi je savais que j'étais encore en vie.
Je ne rêvais pas et je ne vivais pas, j'étais dans un fond noir, tout seul, j'entendais une voix, cette voix semblait être celle du disciple Iop, je devais être à moitié endormie et éveillé.
J'avais beau parcourir l'univers remplie de noirceur infinie mais je ne trouvais aucun signe de vie, je venais de comprendre que j'étais loin dans mes pensées ou un truc dans ce genre.

Plusieurs secondes, plusieurs heures, plusieurs semaines ou encore plusieurs mois ?
Je n'avais pas conscience du temps, j'étais une tache dans un fond noir et je commençais à devenir fou mais je me contentais de rester assis sur place.
Soudain dans ce fond noir apparu une autre tâche, cette tâche commençais à s’agrandir jusqu’à ne laisser aucun fond noir et me faire apparaître dans une forêt sombre.
Cette forêt j'avais l’impression de déjà vue alors je fis quelque pas jusqu'à découvrir un vieux bâtiment en ruines, une fois dedans je l'explorais de partout mais toujours pas de signe de vie. J'avais toujours une impression de déjà vue comme si je revivais un souvenir lointain.
Au bout d'un moment je vis deux cercle de couleur violette qui scintillaient dans, sans comprendre ce qu'il se passait je vis un monstre m'attaquer et enfin je compris que ceci n'était qu'un mauvais rêve.

Je venais de me réveiller de mon malaise, j'étais allongé sur un tas de feuille et au dessus de moi se trouver des personnes qui n'étaient pas vraiment civilisé.
Ces personnes étaient habillées avec des feuilles et autres mais ce qui me surprenait le plus c'est que ces personnes portaient tous un masque.
Épuisé par mes blessures je ne voulais pas trop bouger, je me contentais d’examiner le lieu ou je me trouvais, d'après ce que je voyais j'étais dans une tribu.
Je regardais autour de moi si je ne voyais pas le Iop qui m'avait sauvé la vie mais je ne le voyais pas.
Je leva ma tête pour regarder le ciel mais au lieu de voir le ciel je voyais des maisons en bois perchées dans les arbres.
Je me demandais ou j'étais et qu'est ce que ces hommes bizarre allaient me faire.

Scène se passant sur l'île de Moon à bien des centaines de kilomètres des deux héros.

- Abattez moi ce roublard de mes deux !

- Vous ne m'aurez jamais bande de fions !

Un homme noir courait, un masque noir sur le visage sur lequel ornait une tête de mort blanche, des gant recouvrant ses mains, jusqu'au avant bras, une grande cape voletant dans l'air, de longue bottes tapait sauvagement le sol, il lança un regard en arrière et fit un geste pas très saint.

- Je vais le buter !

Criait un homme au cheveux blanc, de gros yeux blanc était bien enfoncer dans leur orbites, des tatouages noir était sur ses bras, il pointa son épée vers le roublard, celui-ci bloquer par un mur.

- Tu es bloqué Vil roublard ! Redonne nous le sceptre avant que je ne te fasse bouffer de la crotte de bouftout !

Le roublard hésitait, son dos était contre le mur, son bras droit hésitait à dégainer son sushu, qui celui-ci, bizarrement, ne parlait pas, comme si le sceptre en or et en rubis avait un effet sur lui, c'en était belle et bien plausible mais il devait agir et non penser.

- Je...

Le sacrieur eu un large sourire et tendis le bras vers le roublard.

- Comment t'appelle-tu ? Histoire que je te fasse croire mort ?

- Aydern espèce de gros tas !

Aydern sortit son fusil et appuiya sur la détente envoyant un tir ardent vers le sacrieur qui n'eut vraisemblablement aucune peine à parer le tir avec son arme.

- Tu va le regretter !

Le sacrieur se mit aux trousses du roublard qui était déjà partit depuis belle lurette, il courait, il courait vraiment vite, aurait-il aussi vite regretter de tuer ses deux compagnons pour avoir son trophée à lui.
Il courait tellement vite qu'il ne savait vraiment où il mettait les pieds d'ailleurs rapidement il se rendit vite compte qu'il avait semer ses poursuivants.

- Haha, bande de clodo !

Dit-il essouffler, il prit une gorgé d'eau et releva sa tête.

- Pfaaaargh !

Il venait de craché l'eau sur la terre boueuse, devant lui des cannibales ou du moins c'est ce qu'il pensait.
Ils le regardaient tous bizarrement, comme s'il le détailler pour le manger.

- Bon les poilus dégager de mon chemin ou je vous fait bouffer vos masques !

Il entendit des bruit derrière lui, il se retourna , il vit le sacrieur et puis plus rien, le noir. Il n'aurait jamais dû baisser sa garde.

- Pssss, hé pssst !

Aydern tourna sa tête, il n'avais toujours pas ouvert les yeux.

- Hey ! Trou duc'

Aydern ouvrit rapidement les yeux d'un réflexe, il tourna sa tête, devant lui le sacrieur l'appelait et juste derrière lui un éliatrope et en face de celui-ci des cannibale.

- Hé roublard ! J'ai un couteaux dans ma poche arrière, ils ont oublié de me le retirer, prend le, libère moi et tu peux garder le sceptre !

Aydern réfléchissa et tourna le dos à celui-ci pour se tourner vers l'éliatrope, jamais il en avait vue un, seul dans les comptes ou dans les histoires que sa maman lui racontait, il les avaient imaginé plus grand ou du moins, plus fort mais là, ce n'était qu'un gamin, sous un tas de feuilles.

- Hé gamin, qu'est-ce tu fous ici ?

- Me fous pas des vent c*nnard de roublard !

- T'occupe pas de lui, c'est un handicapé.

- Chui' pas un handicapé ! Tu va voir quand je serais libérer je te ferais la peau !

- Fermez bouche vous !

Aydern se retourna vers les cannibales, étonné. il était étonné qu'il sache parler leur langue.

- Vous faire quoi ici ?

- On est là pour t...

-Nous venir ici pour toi casser la gueule, coupa Aydern avec un air ironique, il se mit à rigoler.

A première vue les sauvages n'avait point vraiment de sens de l'humour, ce qui surprenait vraiment Aydern c'était le dénommé Naku, il lui donnait l’impression d'être entre de bonnes mains car, après tout, l'éliatrope ne fut pas les premiers être vivants ?

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Je comptais les longue minutes qui passaient..
J'étais allongé par terre sur un tas de feuilles, ma vue fut floutée quelque temps au fur et à mesure je revoyais des formes précise.
Les cannibales qui nous avaient capturés moi et le Iop furent loin pour le moment puis d'un coup de nouveau cannibale était sorti de la forêt, avec eux il y avait un homme recouvert de sang qui était surement un disciple de Sacrieur et il y avait une autres personne, elle portait une longue cape, un foulard avec ces équipements il n'y avait aucun doute, cette personne était un roublard !
Incapable de bouger vis à vis de mes douleurs je ne pouvais qu'analyser la situation, mon sauveur était allongé plus loin, il ne semblait pas réagir, il y avait les deux nouveaux qui furent installé à mes côtés mais malheureusement il n'était pas encore réveillés.
Je leva ma mains, pour la tendre dans en direction du ciel qui était recouvert par les arbres, j'essayais de faire de la magie, effectivement moi qui ne savait pas d'où je venais et de quel classe j'étais je savais qu'un fluide parcourait mon corps, je le savais car le dessous de mon chapeau était la pour me le prouver. Mon bras tendu vers le ciel, je vis quelque étincelles bleutée sortir de ma main, mais j’abandonnai assez vite cette idée car les cannibales me dévisageaient par la suite.

Quelque minutes plus tard les deux nouveaux c'étaient réveillé, un d'eux me fixait, je ne comprenais pas pourquoi, je commençais à avoir peur puis soudain il m'adressa la parole.

_Hé gamin, qu'est-ce tu fous ici ?
_Je.. Je me suis échoué ici lors d'un voyage.. Ce iop au loin ma sauvé mais j'ai peur qu'il ne soit plus.. de ce monde..

Après ma réponse les actions s’enchaînèrent assez vite et les cannibales n’aimaient pas du tout ça.
Je savais qu'à moi ils ne me feraient pas de mal car ils ont prit soin de moi mais au autres ils n'ont pas hésité à les ligoter, je voulais partir d'ici même si les cannibales m'avaient offert leur hospitalité.
Je me leva avec des difficultés puis je déposa mes deux mains contre un arbre pour avoir du soutient en cas de chute, ce que je n'avais pas vue c'est que l'arbre perdait ses feuilles petit à petit, les cannibales admirait ceci mais je me rendis compte que j'étais la cause de ça alors j'enlevai mes maisn de l'arbre puis soudain son vieillissement s'arrêta et bizarrement je me sentais plus fort et mes douleurs étaient partie.
Ce que je n'avais pas compris c'est que je m'étais imprégné du Wakfu de l'arbre mais après quelque seconde de réflexion j'avais compris mon acte.
Je regardais le roublard qui me fixait, j'étais perdu dans mes idées alors je lui chuchotais quelques trucs.

_Tu peux m'aider à partir ou, qui suis je ? Je ne comprends plus rien !

Je savais juste une chose c'était que j'avais regagné de la puissance.